Bonjour tout le monde !
En ce début d’année 2022, le secteur international voulait faire un retour sur les derniers volontaires partis avec ipeicc.
Voici le témoignage de Romane sur son expérience en Bulgarie !
Si comme ces jeunes vous avez entre 18 et 30 ans et que vous souhaitez participer aux missions de volontariat du Corps Européen de Solidarité n’hésitez plus, contactez-nous !
4 mois pour découvrir la Bulgarie
Après une situation sanitaire un peu compliquée en France et une envie de voyager d’autant plus forte, je décide de faire un CES.
Avec les restrictions et un confinement qui approche, je comprends que c’est un peu mon seul "échappatoire".
Mon choix se porte sur la Bulgarie, plus précisément sur la ville de Bourgas (Бургас pour nos amis comprenant l’alphabet cyrille). Le projet m’intéresse, et l’équipe pédagogique rencontrée en distanciel est très accueillante il ne m’en faut pas plus pour me porter volontaire.
Avec un coup de chance énorme, je me retrouve à partir le weekend avant le deuxième confinement français et me voilà dans un avion pour la Bulgarie qui est un pays dont je ne sais absolument rien si ce n’est que la langue et l’alphabet utilisés n’ont rien à voir avec les nôtre.
Après un trajet Paris-Sofia Sofia-Bourgas, ma responsable/tutrice vient à ma rencontre, c’est l’une des trois personnes que j’ai rencontré auparavant en distanciel, elle m’accueille très chaleureusement et surtout, elle parle un français impeccable, ce qui est très rassurant quand vous arrivez dans un pays étranger avec aucun repère.
On me laisse un petit temps d’adaptation avant que je ne commence à travailler.
Je visite la ville et son port, première impression la ville est très jolie elle porte encore quelques traces du communisme mais elle est très active et à des allures de petite station balnéaire ? une chance pour moi de voir la mer pendant l’été vu que je reste jusqu’en Juillet.
Ensuite on plonge dans le réél : Promouvoir la culture française dans la ville de Bourgas.
Pendant les quatre mois ? je vais intervenir au lycée français de Bourgas, assurer des cours de français (accompagné du professeur) dans trois écoles primaires et aider à l’alliance française.
Je suis maintenant un peu triste que ce voyage se termine.
L’expérience vécue était incroyable et le contact avec la population locale très enrichissant surtout auprès des enfants et des adultes ; on en apprend plus sur une culture qui n’est pas la nôtre et les a prioriS concernant le pays disparaissent quasi immédiatement.
Après avoir appris les rudiments de l’alphabet cyrillique et quelques mots de bulgare, on se retrouve tout de suite intégré, les gens sont curieux. Ce n’est pas tous les jours qu’un français décide d’aller en Bulgarie bien que j’ai pu en rencontrer ici profitant de leurs vieux jours, étant tombés amoureux du pays et comme je les comprends.
Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de foncer en Bulgarie (surtout à Bourgas !)
Mon voyage se termine ici mais j’ai déjà hâte d’y retourner !
Довиждане et merci !