Actualité

i.PEICC x Village Rap : la jeunesse débat autour du rap et de la société

i.PEICC x Village Rap : la jeunesse débat autour du rap et de la société

Le mercredi 23 avril, i.PEICC est intervenu au Village Rap organisé par l’AFEV à La Maison pour tous Léo Lagrange, pour animer un atelier discussion mêlant rap, citoyenneté et parole jeunesse. De 14h à 16h, les jeunes présent·e·s ont participé à un débat mouvant, où chacun·e était invité·e à se positionner — littéralement — selon son point de vue : d’accord, pas d’accord, ou entre les deux.



Le rap est-il encore une culture alternative ?

Les échanges s’ouvrent avec spontanéité. Un jeune de 10 ans intervient : « Le rap, ça vient du Bronx »
. Une phrase simple qui replace l’histoire au cœur du débat. Rapidement, d’autres prennent la parole : on parle de la rue, des textes engagés, de liberté d’expression. Un nuance vient s’ajouter : aujourd’hui, le rap est présent partout — dans les médias, la pub, les grandes scènes. Peut-on toujours parler de contre-culture quand une partie du rap est institutionnalisée, voire commerciale ?

Les jeunes s’accordent sur une chose : le lieu ne fait pas le message. Ce n’est pas le fait de rapper dans la rue ou en salle qui définit l’engagement, mais l’intention, l’écriture, la démarche. Le rap évolue, mais garde en lui cette capacité à questionner la société.

Le rap revendique-t-il l’égalité entre les femmes et les hommes ?

Les points de vue divergent. Certains dénoncent une faible représentation des femmes, des textes parfois sexistes, ou une tendance à invisibiliser les rappeuses. D’autres rappellent que plusieurs femmes ont marqué l’histoire du rap, avec des textes puissants, et que cet espace leur reste accessible — même si les rapports de force restent inégaux.

Et puis, une remarque revient :
« Si on trouve le rap vulgaire, c’est peut-être parce qu’on le regarde encore comme une contre-culture. »
Une réflexion qui montre que le rap n’est pas figé, et qu’il continue de bousculer, de provoquer le débat — et c’est bien ce qui en fait une culture vivante.

L’intervention d’i.PEICC au lycée Léonard de Vinci

L’intervention d’i.PEICC au lycée Léonard de Vinci

Le jeudi 10 avril, le lycée professionnel Léonard de Vinci et le CFA ont organisé leur toute première Journée des associations, de 10h30 à 15h30. Une vingtaine d’associations et de structures locales étaient présentes pour faire découvrir leurs actions aux élèves. I.PEICC a marqué cette journée en mêlant témoignages, échanges, et curiosité.



Accompagnement personnalisé

L’association a mis en avant les échanges internationaux, avec une présentation du dispositif de volontariat européen dans le cadre du Corps Européen de Solidarité. De nombreux·se jeunes ont pu en apprendre sur les possibilités d’engagement à l’étranger, et se sont montré·e·s intéressé·e·s pour adhérer et participer aux prochaines actions.

Deux volontaires européen·ne·s actuellement engagé·e·s à i.PEICC, Paul et Calma, étaient également présent·e·s pour partager leur parcours : témoigner de leur expérience, parler de la mixité sociale que favorisent les projets de l’association, et échanger librement avec les élèves sur leurs envies d’avenir.
En parallèle, l’animatrice 16-25 ans du pôle jeunesse a présenté l’accompagnement proposé par i.PEICC pour les projets personnels et professionnels des jeunes du territoire.

Un moment d’échange et de connexion

La journée a débuté autour d’un accueil café, permettant de rencontrer l’ensemble des partenaires, l’équipe pédagogique et administrative du lycée, ainsi qu’une représentante du Bureau des entreprises (un dispositif rectoral qui facilite les liens entre jeunes, enseignant·e·s et structures pour l’insertion professionnelle).
Plus de 250 élèves ont circulé entre les stands tout au long de la journée. Des enseignant·e·s sont également venu·e·s pour approfondir les discussions avec les associations et encourager leurs élèves à s’impliquer.

i.PEICC remercie chaleureusement le lycée Léonard de Vinci pour son accueil convivial et l’organisation de cette première édition. Une journée qui a permis à l’association de se faire connaître davantage, de créer du lien avec les jeunes, et de faire rayonner ses valeurs et ses projets.
Une belle dynamique collective qui montre, une fois de plus, la richesse des engagements possibles dès le plus jeune âge !

Un roman, une lecture collective, un auteur engagé : rencontre avec Charles Robinson à i.PEICC

Un roman, une lecture collective, un auteur engagé : rencontre avec Charles Robinson à i.PEICC

Charles Robinson, qui sera sur la commune de Lattes en résidence de création littéraire Lattara, jusqu'à la Comédie du Livre de Montpellier à laquelle il participera, est venu découvrir le quartier de la Paillade, accompagné par Nourdine Bara. L'auteur est venu à i.PEICC pour un moment d’arpentage autour de son ouvrage Fabrication de la guerre civile.


La lecture collective a très vite ouvert la voie à un échange riche, vivant, parfois traversé de débats, toujours ancré dans les réalités sociales, politiques et humaines. Un moment type d’éducation populaire : des voix qui se croisent et des vécus qui s’expriment.Des personnages récurrents, des tresses narratives

Dans Fabrication de la guerre civile et un autre roman antérieur, Charles Robinson met en scène environ 150 personnages, aux surnoms singuliers. Ces deux livres se répondent, et certains personnages y réapparaissent, permettant une reconnexion immédiate à leur univers. Ce choix d’écriture permet d’ancrer des repères sensibles et imaginaires, loin des étiquettes figées des prénoms.

Il parle de « tresses narratives » : des fils entrecroisés, des personnages qui reviennent par grappes, sans forcément de lien direct, mais qui activent la mémoire du lecteur, enrichissent la lecture et donnent une profondeur au récit.

Fiction ancrée, écriture documentée

L’histoire se déroule dans un lieu fictif : la Cité des Pigeonniers. Pourtant, elle puise largement dans le réel. L’auteur l’a construite à partir de mois de récoltes : souvenirs, situations, visages, dialogues… Initialement centré sur un personnage féminin, le récit s’est ensuite élargi à une multiplicité de trajectoires, de voix, de contradictions.

Charles Robinson se définit comme un auteur de romans politiques et sociaux, mais à travers l’imaginaire. Pour lui, la fiction permet de déplacer le regard, de retrouver une forme de lucidité face à une réalité saturée d’informations, souvent épuisante. Il parle d’une « lucidité noire », traversée par une énergie, une poésie, un humour qui sont autant de manières de résister, de parler du monde autrement.

Langage, humour et expérimentations

L’humour, dans son roman, s’exprime dans le langage, les tournures, les inventions, avec un regard attentif à la façon dont on parle dans les quartiers, et une volonté de se réapproprier le langage pour en faire une matière poétique. L’écriture est aussi pensée comme un travail de composition : fragments de vie, rythmes, trajectoires… L’idée n’est pas de livrer une narration classique, mais de construire une expérience de lecture, qui fasse écho à la complexité du réel, sans pour autant perdre le lecteur.

Partager l’œuvre, faire société autrement

Charles Robinson n’écrit pas pour une cible précise. Il parle de « littérature de comète » : un livre qui touche par-ci par-là, qui traverse des publics différents. Il cherche à faire circuler son œuvre dans des espaces variés : cités, MJC, lieux associatifs… avec cette question en toile de fond : comment partager une œuvre avec celles et ceux pour qui elle fait sens ?

Ce moment d’échange à i.PEICC a aussi permis d’ouvrir sur des réflexions collectives autour de la dés-adhésion à la société, de la légitimité des lois, des espaces de révolte, ou encore du rôle des jeunes générations dans les mobilisations.
 Des discussions vives, où toutes celles et ceux qui le souhaitaient ont pu confronter ses expériences et ses ressentis, dans un climat d’écoute et de parole libre.

Un grand merci à Charles Robinson pour ce moment, et à toutes les personnes présentes pour leurs prises de parole et leur curiosité.


i.PEICC au MIAM : vernissage et immersion dans l’art du quotidien

i.PEICC au MIAM : vernissage et immersion dans l’art du quotidien

Le mercredi 9 avril, les volontaires et  jeunes d’i.PEICC se sont rendu·e·s à Sète pour une sortie culturelle organisée dans le cadre du programme M28 – Terres de culture. Un après-midi entre art, nature, graphisme et poésie visuelle…

Une virée au grand air

L'après-midi a commencé par une balade à travers la ville de Sète, en direction de la crique de la Nau pour un temps de cueillette et d'inspiration les pieds dans le sable : coquillages, bois flotté, sable... de quoi alimenter les futures animations du mercredi matin avec les enfants ! 
Fabrication de pâte à modeler maison à base de maïzena, création de miroirs décorés de coquillages, ou encore expérimentation autour du sable coloré. L'objectif ? Créer du lien entre art et science, et partager ces inspirations naturelles avec les plus jeunes, s'inspirant de l'exposition au MO.CO., notre partenaire d'Art ensemble.

Une avant-première au MIAM

Par la suite, rejoints par la présidente d'i.PEICC, les jeunes ont eu l'opportunité d'assister à l'avant-première de l'exposition "SUPERBEMARCHÉ" au Musée International des Arts Modestes, en présence des commissaires de l'exposition et de l'un des collectionneurs qui a mis à disposition son fond... et sa mémoire.
 Cette visite exclusive dans le cadre de partenariat avec M28, a permis une découverte privilégiée du lieu et de ses coulisses. Présentée par les commissaires, l'exposition met à l'honneur les papiers d'agrumes — ces fins papiers de soie colorés qui emballent les fruits — et les fait dialoguer avec les arts modestes et les arts appliqués.

Quand l’emballage devient œuvre

L'exposition interroge notre rapport aux objets du quotidien : du sac plastique au billet de banque, des goodies aux packagings alimentaires, toutes ces images marchandes s'approchent des œuvres à part entière tout en restant anonymes.
 Ces objets, souvent jetés, sont ici conservés, étudiés, détournés, jusqu'à devenir des supports narratifs. Chaque image devient une lettre, un alphabet graphique qui raconte une histoire collective. 
Le lien avec le graphisme, le marketing, l'histoire de la consommation et notre manière de faire société est fort et stimulant. Une belle manière d'élargir nos références et de nourrir nos inspirations !

Un moment collectif inspirant

Cette journée à Sète a aussi été un temps de cohésion et de respiration pour le groupe, mêlant découverte culturelle, balade en plein air et inspiration créative.
 Entre art modeste, graphisme et regards portés sur nos objets quotidiens, cette sortie ouvre des pistes à explorer, des histoires à raconter et des matériaux à transformer.
Une belle illustration de ce que permet M28 : créer des ponts entre la culture, les territoires, les individu·e·s... et les imaginaires.

Et pour une mise en image de cette après-midi, cliquez-ici pour visionner la vidéo postée sur notre Instagram !

Formations Valeurs de la République et Laïcité 2025

Formations Valeurs de la République et Laïcité 2025

iPEICC vous propose deux journées de formation consacrées au principe de laïcité et à ses implications dans la vie quotidienne.

Gratuit et ouvert à tous . N'hésitez pas à vous inscrire ! 

Renseignements / INSCRIPTIONS : Olivier HALET 07 78 64 38 62

 

"Quand il fait du vent, les arbres dansent" : La Paillade racontée avec Christel, membre de l’Université Citoyenne

"Quand il fait du vent, les arbres dansent" : La Paillade racontée avec Christel, membre de l’Université Citoyenne

Le 25 mars à 10h30, à l’approche de la ZAT 2025 (Zone Artistique Temporaire), a eu lieu le vernissage de l’exposition Quand il fait du vent, les arbres dansent par Marielle Rossignol. Christel, membre de l’Université Citoyenne et figure connue du quartier, a participé au projet. Cette exposition met en lumière l’âme de la Paillade à travers des portraits issus d’une exploration humaine et intime du territoire.


Un voyage visuel et humain au cœur de la Paillade

Pendant un an, les photographies seront exposées aux Halles des 4 Saisons, un lieu emblématique de la Paillade. Chaque image témoigne d'une saison particulière, d'un instant figé dans le temps. Mais au-delà des clichés, c’est la rencontre humaine qui émerge avec force. Christel, a pris part au projet en apportant sa vision du quartier. Elle a partagé ses histoires, ses anecdotes de vie et sa perspective sur la Paillade, contribuant ainsi à ancrer l’exposition dans une réalité sociale et humaine. Ces récits ont enrichi le projet et ajouté une dimension de lutte contre les stéréotypes qui pèsent souvent sur ce quartier.

Lutter contre la réputation du quartier : Un acte de résistance par l’art

La Paillade souffre d'une réputation souvent négative, alimentée par des préjugés et une vision réductrice du territoire. À travers cette exposition est associée une volonté de briser ces clichés et d'offrir une autre perception du quartier. Représentées par des habitant·e·s et commerçant·e·s, les photographies vont au-delà de l’image du quartier souvent réduite à des stéréotypes. Elles révèlent davantage les vies et les histoires qui s'y croisent, offrant une vision plus riche et nuancée de cet endroit. L’exposition se concentre sur des personnes réelles du quartier, des figures représentatives qui participent à la construction de son identité. Le projet devient ainsi un acte de résistance artistique, un moyen de réhabiliter l'image du quartier et de démontrer sa richesse humaine et culturelle.

Depuis ma fenêtre, les arbres dansent : Une poésie du quartier

Un après-midi au domicile de Christel avec Marielle, elles observaient l'horizon du quartier visible par la fenêtre: « Depuis ma fenêtre, j’observe les arbres qui dansent lorsqu’il y a du vent ». Marquée par cet échange avec Christel, Marielle en a puisé l’inspiration pour le titre de son projet. Cette image poétique est devenue le fil conducteur de l’exposition. Elle illustre non seulement la beauté du quartier, mais aussi sa dynamique vivante, où chaque souffle de vent, chaque mouvement des arbres semble raconter l’histoire du lieu et de ses habitants.

Cette initiative montre aussi que l’art peut être un puissant levier pour changer la perception d’un lieu, lutter contre les préjugés et mettre en avant la mixité.

Mosaïque citoyenne : un événement engagé pour la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Mosaïque citoyenne : un événement engagé pour la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Dans le cadre du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, l'i.PEICC, a organisé un événement introductif au projet « Mosaïque citoyenne » à la Maison pour tous Léo Lagrange. Cet événement a été le fruit d'échanges, de créativité et de réflexion autour de la place des femmes dans l'espace public.


Un atelier artistique pour libérer l'expression

L'après-midi a débuté par une initiation au cyanotype, animée par l'artiste-plasticienne Ayda-Su Nuroglu. Cette technique photographique ancienne, exploitant la lumière pour créer des images uniques, a permis aux participant·e·s de laisser libre cours à leur créativité. En raison du temps pluvieux, des lampes UV ont été utilisées pendant 10 minutes, suivies d'un rinçage à l'eau de 7 minutes.

L'artiste a présenté son travail et proposé une initiation à son univers, utilisant des matériaux naturels tels que des plantes séchées, des plumes et de la laine. Du textile a également été utilisé, explorant différentes textures à travers l'utilisation de confettis, de morceaux de dentelle et de gommettes.

Des activités pour toustes

En parallèle des ateliers, divers espaces ludiques étaient accessibles : coloriage, jeux de société et moments de partage, renforçant les liens entre les participant·e·s et favorisant un climat convivial.

Un prolongement artistique et participatif

L'événement ne s'arrête pas au 8 mars ! Un cycle d'ateliers de pratique artistique et de discussions se poursuivra entre avril et mai 2025, ouvert aux habitantes de la Mosson. Ces rencontres permettront une réflexion approfondie et un engagement durable autour des thématiques abordées. Ce travail s'effectuera en partenariat avec l'association Tin Hinan.

Une discussion avec la juriste Houda Choisy sur les femmes dans l'espace public sera reprogrammée en avril 2025.

En juin 2025, une présentation de l'œuvre collective produite viendra clôturer ce projet, témoignant de la richesse des créations et des idées nées de cette dynamique citoyenne et artistique.
Le projet "Mosaïque citoyenne" incarne un engagement fort en faveur des droits des femmes et de leur visibilité dans l'espace public, en alliant art, réflexion et convivialité.

Retour sur les vacances d’hiver 2025 à i.PEICC

Retour sur les vacances d’hiver 2025 à i.PEICC

Durant les vacances scolaires de février, l’association a proposé différentes activités (sportives, culturelles, artistiques…) à destination des jeunes. Retour sur les vacances d’hiver 2025 dans l'esprit d'éducation populaire à i.PEICC !


Vos idées, nos actions

Afin de proposer des actions adaptées aux envies de chacun·e, quoi de mieux que d’en discuter ensemble ? En tant qu'association de proximité, i.PEICC co-construit ses programmes avec les publics et s'adapte à leurs besoins et leur vie dans le quartier. Un comité technique réunissant jeunes et adultes s'est donc tenu afin de recueillir leurs attentes.

Exploration littéraire

Les jeunes se sont rendus à la librairie indépendante La Cavale, qui dispose d’une large sélection pour tous les goûts. Ça a été l’occasion de découvrir, lire et choisir un livre qui leur plaisait grâce au dispositif Chèque Lire.

i.PEICC et NegPos en échange culturel à Nîmes

Dans le cadre des 80 ans de Peuple et Culture, i.PEICC et NegPos Centre d'Art et de Photographie, tous deux faisant partie de ce mouvement, se sont réunis pour une journée d'échanges entre les jeunes et de découvertes à Nîmes. Cette collaboration entre structures a été l’occasion de partager une expérience culturelle commune, mêlant visite de centre historique et interaction entre jeunes. Ensemble, les participants ont exploré des lieux de la ville comme les Jardins de la Fontaine et les arènes de Nîmes avant de terminer leur journée à l'association Aux Fils D'or au cœur des quartiers populaires de la ville. Une journée placée sous le signe du partage et de l'échange entre ados.

Atelier cuisine

Le moment est venu de mettre en pratique leurs compétences culinaires ! Les jeunes ont élaboré plusieurs recettes : des tablettes de chocolat de Dubaï, des tiramisus et des crêpes au Nutella. Une "ambiance de cuisine professionnelle" s’est développée grâce à la création de toques de chefs·fes cuisiniers·ères et d’un système de notation imaginé par les volontaires du Tiers Lieu Culturel. En complément d’un fond musical et de discussions, l’après-midi fut riche en rires et gourmandises.

Créations en céramique

Une autre activité manuelle a eu lieu : la création d’objets décoratifs en céramique, où jeunes, enfants et parents ont pu y participer. Ce fut le moment de laisser libre court à sa créativité et à son imagination. Les personnes qui le souhaitaient ont pu par la suite peindre leurs créations et les emporter avec elles.

Accompagnement projet

Des jeunes ont pu poser leurs questions concernant un projet de rencontre par la danse. Ils/elles ont pu prendre contact et échanger avec des éducateurs de rue.

Regards sur le quartier de La Paillade – La rénovation en images

Dans le prolongement de la rencontre avec NegPos, les jeunes d'i.PEICC munis d’un appareil photo, les jeunes du quartier ont exploré leur environnement pour en saisir les évolutions à travers leur regard. En capturant les transformations visibles, ils ont construit une mémoire visuelle de leur lieu de vie. Leurs clichés qui font l'objet d'une exposition à i.PEICC Regards sur le quartier, témoignent de leur perception des changements en cours.

Jeu de Piste : Explorez Montpellier autrement

Un jeu de piste a été organisé, pour permettre aux jeunes de découvrir Montpellier de manière ludique et originale. Du Peyrou à Antigone, en passant par le Jardin des Plantes, des énigmes ont été résolues tout en explorant des lieux emblématiques de la ville.

NOTRE NEWSLETTER
Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription à notre newsletter est confirmée.

Peuple et Culture
Association de Jeunesse et d’Éducation populaire

i.PEICC lutte contre l’exclusion sociale, professionnelle et culturelle à travers le développement d’une citoyenneté active.

Peuple et Culture développe des démarches d’éducation populaire, favorisant l’éducation critique, l’autonomie, l’ouverture culturelle et interculturelle, la transmission des savoirs, le goût de l’expression et de l’action collective, de la créativité et du vivre ensemble.
www.peuple-et-culture.org

© 2025 i.PEICC
We use cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site web. Certains d’entre eux sont essentiels au fonctionnement du site et d’autres nous aident à améliorer ce site et l’expérience utilisateur (cookies traceurs). Vous pouvez décider vous-même si vous autorisez ou non ces cookies. Merci de noter que, si vous les rejetez, vous risquez de ne pas pouvoir utiliser l’ensemble des fonctionnalités du site.