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Je m’appelle Youen, et je reviens tout juste de Macédoine du Nord, où j’ai passé 9 mois...

Salut tout le monde !


Je m’appelle Youen, et je reviens tout juste de Macédoine du Nord, où j’ai passé 9 mois en volontariat auprès de VCS, Volunteer’s Centre Skopje en 2023. Cette expérience formidable est encore toute fraîche, cela me fait encore tout drôle de me réveiller en France !


Qu’est ce que c’est que Volunteer’s Centre Skopje ?

C’est une association de volontaire, qui reçoit et envoie des jeunes européens en volontariat depuis maintenant 15 ans. J’en avais entendu parler sur le portail du Corps Européen de Solidarité car ils éditaient un magazine tout en touchant à d’autres missions (organisation d’événements, communication sur les réseaux sociaux, soutien humanitaire dans un centre d’accueil pour enfants rroms par exemple). Une opportunité qui me semblait donc parfaite par rapport à ce que je recherchais à la sortie de mes études : quelque chose d’un peu touche-à-tout, pour voir un peu plus concrètement ce qui me plaisait ou non, et de dépaysant. J’ai donc candidaté, été accepté et commencé à me préparer pour le grand voyage. Problème : le visa. La Macédoine du Nord n’étant pas membre de l’Union Européenne, il faut nécessairement un visa pour pouvoir travailler là bas plus de 3 mois. C’est également la durée qu’il m’a fallu attendre avant de l’obtenir. C’est le plus gros point noir de mon expérience, car attendre sans certitude ni possibilité de faire des plans, c’est pesant moralement, et cela requiert énormément de patience. Mais comme on dit, tout vient à point qui sait attendre, et à partir du jour de mon arrivée, j’ai su que j’avais fait le bon choix.


Le premier jour, justement, je suis arrivé à Skopje dans l’appartement, puis les bureaux, que j’ai partagé avec de nombreu.x.ses volontaires au cours de l’année, venant des quatre coins de l’Europe : Finlandais, Allemands, Turcs, Belges, Français, Polonais, Espagnols, Italiens et même une équipe d’Aruba, une petite île dont tout le monde a découvert l’existence grâce à elle. Cet environnement multiculturel, c’est une chance que tous les volontaires européens connaissent bien. C’est trois langues qui résonnent en arrière- plan, c’est découvrir des plats délicieux et des destinations de rêve, c’est prononcer des phrases qui ressemblent à des mauvaises blagues quand on raconte son quotidien à ses proches en France (« Parce que ma pote finlandaise a proposé aux turcs de nous rejoindre pour la rando avec les allemandes... »). Le plus sympa, c’est surtout de voir que la nationalité des gens devient très secondaire, pour peu qu’on ai un
niveau de base en anglais.


Skopje, c’est particulier. C’est une ville que j’ai mis du temps à comprendre, parce qu’elle est, d’après les mots assez juste d’un ami macédonien, schizophrénique. Il y a un mélange de différentes influences, entre les vieilles maisons traditionnelles des Balkans qui subsistent ici et là, les grands immeubles de l’époque de la Yougoslavie socialiste, et les constructions plus récentes qui virent souvent au baroque kitsch, qui datent du projet urbain du gouvernement nationaliste au pouvoir lors de la dernière décennie. C’est un peu particulier pour s’y retrouver, mais on s’y fait, et la vie y est non seulement pas chère mais assez animée : il y a toujours des trucs à faire, des concerts, des expos, des lieux à découvrir, et des gens super ouverts à la rencontre. Apprendre quelques mots de base en macédonien, c’est très gratifiant : les gens accueillent les efforts qu’on fait super favorablement. Le principal problème, par contre, c’est que c’est l’une des ville les plus polluées d’Europe l’hiver, et un four l’été : comme la ville est entourée de montagnes, le vent n’y passe pas et on y étouffe dans le smog ou la chaleur. Après, c’est aussi très chouette d’avoir la montagne à
20mn à pied de chez soi, et ça permet d’y échapper un peu !


Enfin, il faut surtout que je vous raconte VCS. L’association a beaucoup d’expérience dans l’accueil de volontaires, et on y prend des responsabilités rapidement une fois qu’on est dans le bain. Il y a d’abord et surtout la publication de VOICES, le magazine de l’association, qu’on sort tous les mois en format numérique et de temps en temps en version papier. Les sujets sont très libres, et on peut y apprendre déjà pas mal rien qu’en écrivant sur les choses qui nous font plaisir, mais c’est surtout la partie design et communication qui ont été des découvertes pour moi : chaque article est publié sur le site et les réseaux sociaux, après qu’on ai nous-même organisé la mise en page. L’asso anime aussi un podcast mensuel, et a une grosse production vidéo sur les événements qu’elle organise, c’est donc une super opportunité pour se familiariser avec des logiciels que tous le monde utilise dans le milieu professionnel. Les membres de
l’asso nous poussent aussi à organiser des événements réguliers, ainsi que des ateliers sur des thèmes qu’on aime bien. C’est intimidant pour certaines personnes : se retrouver à dicter aux autres ce qu’ils doivent faire ou expliquer un concept à un public n’est pas donné, mais c’est spécifiquement dans cet environnement que c’est permis de se planter. Il y a énormément de bienveillance entre les volontaires, et on apprend souvent beaucoup les uns des autres. Un autre aspect important, c’est le Centre d’accueil pour enfants roms. La communauté rom (ou tzigane) est marginalisée dans beaucoup de pays, et la Macédoine ne fait pas exception à la règle, même s’ils y disposent de leur propre municipalité. C’est là bas que le centre se trouve, et que les volontaires qui le souhaitent se rendent une à deux fois par semaine pour seconder les institutrices du centre qui s’occupent de jeunes enfants des familles les plus précaires, pour leur donner des cours de base, de la nourriture, et faisant office de garderie. L’environnement est particulier, vu que la communication est compliquée avec les enfants, mais c’est aussi dans ce contexte que j’ai pu faire des progrès certains en Macédonien et que j’ai senti un véritable sens à ma présence là-bas.

C’est difficile de synthétiser tout ce que j’ai appris là-bas. Mais ces 9 mois ont été largement à la hauteur de ce que j’en attendais, et j’en ressors vraiment grandi, à la fois sur un plan « professionnel » et personnel. Skopje et VCS vont énormément me manquer, mais d’un autre côté, mon goût pour l’aventure s’est encore affiné et je sais que je rendrai visite aux nombreux amis que je me suis fait là bas. À vous, je ne peux que recommander l’expérience du Corps Européen de Solidarité. On y apprend tellement de choses que l’on aurait jamais soupçonnées sur d’autres lieux et personnes qu’en France, et, en miroir, on y apprend surtout beaucoup sur nous même et sur l’environnement dont on vient. Merci à I-Peicc d’avoir rendu cette opportunité possible, en souhaitant que de nombreuses autres personnes puissent aussi partir grâce à eux !


Youen

 

 

Je m’appelle Samaël. Je suis parti pendant deux mois sur un projet environnemental à Xylokastro, en Grèce

        Je m’appelle Samaël. Je suis parti pendant deux mois sur un projet environnemental à Xylokastro, en Grèce avec l’organisation Orfeas. C’est une petite ville en bord de mer, à deux heures d’Athènes. Durant ces deux mois, nous avons nettoyé la forêt et la plage. Nettoyer la nature était très gratifiant, nous avancions vite ! Les locaux nous ont montrés leurs reconnaissances en nous offrant du café ou du vin qu’ils avaient fait eux même ou en nous apprenant des traditions de Grèce, ce qui était très enrichissant. Nous avons aidé à peindre des jeux dans la cour d’une école et nous avons organisé des workshops avec les locaux, notamment un workshop avec des enfants de 9 à 11 ans pour la Journée Internationale de l’eau afin de les sensibiliser sur pourquoi il faut économiser de l’eau. Pour ce faire, nous avons peint des affiches, créer des jeux et des quiz et joué avec eux. Nos horaires étaient flexibles, nous commencions à 9 heures puis travaillions jusqu’à midi environ, ce qui nous laissait nos après midi de libre. Elena qui travaille pour Orfeas, nous donnait des cours de grec deux fois par semaine, ce qui était très pratique dans le quotidien.

            Les liens avec les locaux se faisaient assez facilement, la plupart des locaux étaient ravis de nous faire découvrir leur culture ce qui est très agréable. Je me suis lié d’amitié avec un grec chez qui je suis parti en vacances sur une île pendant trois jours. Il m’as fait visité en me racontant l’histoire de ce qu’on voyait.

            Les liens entre les volontaires s’est fait instantanément. Les longs termes nous ont incluent dans tout ce qu’ils prévoyaient (visites de villes et monuments, soirées films, soirées jeux etc). Chaque personne étaient dans un état d’esprit de rencontrer de nouvelles personnes et cultures, tous étaient ouvert d’esprit et l’ambiance était super bienveillante. Si on avait des problèmes en anglais, tous essayé de t’aider à t’améliorer. Nous étions trois courts terme, nous étions ensemble sur le projet et travaillions donc ensemble tous les jours. Nous vivions dans le même appartement et nous avons du apprendre à vivre en communauté. L’organisation de la vie commune s’est fait très rapidement.

            Je suis parti en volontariat sans vraiment de but et sans attentes particulières. Ça s’est révélé être l’une des meilleures décision de ma vie. Les rencontres que j’ai faites en Grèce sont très précieuses. Je me suis fait des amis qui me sont très chères. C’était une expérience très intense, fortes en émotions et j’en ressors grandi, plein de souvenirs magnifique. J’invite toutes personnes qui hésitent à se lancer, c’est une expérience unique et magique.

Je suis Zélie, j’ai 19 ans et je suis partie 2 mois au Portugal...

Je suis Zélie, j’ai 19 ans et je suis partie 2 mois au Portugal. Si comme moi tu veux partir faire du volontariat à l’étranger, ici je te donne mon expérience et quelques conseils qui pourront certainement t’aider.

 

Pour commencer, j’étais étudiante en première année de Psychologie mais je ne me sentais pas à ma place sur les bancs de l’université. Je voulais voyager, découvrir le monde avec impatience. Après avoir passé ma première année j’ai pris une année de césure pour me concentrer sur ce projet. Puis j’ai posé des questions à droite à gauche et j’ai trouvé le CES.

Le CES est un projet européen visant à élargir le monde, l’Europe, à des jeunes entre 18 et 30 ans.  Après de nombreuses recherches, des refus, beaucoup de questionnements j’ai finalement trouvé un volontariat de 2 mois au Portugal, dans la ville de Peniche avec l’association AJP. L’association IPEICC m’a aussi beaucoup soutenu et aidé dans ces recherches et ces épreuves.

 

Association Juvénile de Peniche (AJP) s’occupe d’enfants entre 6 et 12 ans. C’est un lieu d’apprentissage, de partage, et d’évolution pour ces enfants. Je les ai aidé à travers des activités pour qu’ils puissent développer leur créativité et leur confiance en eux.

 

Face à toute cette nouveauté, j’ai beaucoup appris sur moi. Ce volontariat était pour moi la première fois que je me retrouvais seule dans un pays, une ville que je ne connaissais pas, avec une culture et une langue étrangère. Malgré tout, le quotidien s’est installé gentiment et j’ai réussi à surpasser cette crainte, car je savais que j’étais à ma place.

 

Cette expérience n’est rien sans les personnes que j’ai rencontrées. Sofia ma tutrice qui a pris grand soin de moi, Adriana qui m’a aidé pour les activités des enfants, Beatriz à qui j’ai raconté mes histoires, ma vie et Pir avec qui j’ai beaucoup ri. Toutes ces personnes m’ont aidé à rendre tout plus facile. Ils m’ont appris beaucoup sur la culture portugaise, la langue et leur vision du monde. Ce qui est très enrichissant.

 

Comme dit précédemment, j’ai beaucoup appris là-bas. J’ai pu exercer mon anglais, dans le monde réel, ce qui m’a beaucoup fait gagner en confiance. J’ai aussi appris à me sociabiliser plus facilement, à ne plus avoir cette barrière qui m’empêchait d’échanger avec les autres. Alors je suis fière d’avoir acquis toutes ces compétences.

 

Ce volontariat, cette expérience, m’a donné le goût du voyage. Désormais j’aimerais visiter tous les pays, rencontrer un tas de gens, partager. La suite de cette année d’aventures sera rythmée par des voyages, des rencontres, de l’apprentissage. Je souhaite partir voyager avec la plateforme Workaway, qui met en relation des voyageurs prêts à donner un coup de main avec des hôtes qui ont besoin d’aide pour leurs projets en échange d’hébergement.

 

Pour finir, ce volontariat fut une aubaine pour moi. Il est arrivé au moment opportun, m’a fait grandir. Aujourd’hui je me sens responsable, prête à m’engager dans la vie. Je n’ai plus peur de me lancer et de suivre mes envies.

 

Merci l’IPEICC de m’avoir soutenu et suivi.

Merci AJP de m’avoir accueilli.

 

Zélie

 

 

 

 

 

Abdoulaye, une expérience de volontariat long terme au Portugal

Abdoulaye nous livre un témoignage tout en image.

Découvrez son expérience mois après mois !

 

L'Université citoyenne s'ouvre aux questions de mobilités

L'Université Citoyenne a entamé depuis le début de l'année un cycle thématique consacré aux mobilités dans les quartiers Mosson, Vert-Bois et La Valsière (Grabels).

Le 25 janvier dernier a ainsi eu lieu à l'Espace de Vie Sociale Gutenberg (situé dans le quartier de la Valsière), le second atelier citoyen sur cette thématique, le premier ayant eu lieu à l'EVS de Vert-Bois. Ces temps d'échange ont pour visée de faire remonter les facilités et difficultés rencontrées les habitant.e.s lors de leurs déplacements quotidiens au sein de la métropole montpelliéraine.



Nous étions sept personnes pour partager nos expériences et réflexions à ce propos :
• les 4 élèves de l'atelier de français langue étrangère de l'EVS Gutenberg, par ailleurs mères de famille, résidant à Malbosc, à la Valsière, aux Hauts-de-Massane et au centre de Grabels
• leur animatrice Fanny
• Anissa, stagiaire à i.PEICC
• Mélissa, en charge d'animer l'Université Citoyenne.

Premièrement, on a commencé par un petit jeu (photolangage) qui consistait à choisir des images qui nous évoquent notre rapport à la mobilité.

Ensuite, chaque personne devait expliquer pourquoi elle avait choisi telle ou telle image, on pouvait en sélectionner 2 maximum par personne. Il y avait souvent l'image du bus qui surgissait. De là, on a remarqué que c'était souvent le même problème qui émergeait : il n'a pas assez de bus qui passent dans certains secteurs. Par exemple, une maman du groupe qui habite au centre de Grabels nous expliquait que la semaine, il a un bus toutes les 30 minutes et que le week-end et pendant les vacances, il y a un bus toutes les heures et que c'était compliqué pour elle. Elle doit constamment avoir les yeux sur l'horloge.

Les mamans nous faisaient comprendre qu'avec le bus la circulation dans la ville et ses alentours était très difficile surtout avec les enfants qu'il faut ramener à l'école et les rendez-vous.

 

Vacances des enfants au Tiers Lieu Culturel

Vacances des enfants au Tiers Lieu Culturel

Vous êtes conviés en famille à la restitution sonore et visuelle de nos ateliers de créations avec les enfants du quartier Vendredi 16 février à 15h à La Petite scène du théâtre Jean Vilar, tram Halles de la Paillade.

Nous sommes très heureux d'accompagner les enfants dans cette aventure aux cotés de l'association La Cimade pour les enfants du bidonville de Bonnier et l'association Oaqadi, nos fidèles partenaires pour une semaine intense de création d'histoire audio fantastique du 12 au 16 février 2024.

Nous pourrons, lors de ce spectacle, vous présenter leurs créations de kamishibaï, assemblées lors de nos ateliers des mercredis matin avec toute l'équipe du Tiers Lieu Culturel.

Pour toute information, n'hésitez pas à me contacter, infos/contacts ici

Karine, Tiers Lieu Culturel.

 

Printemps des Poètes avec Soufyan Heutte

Printemps des Poètes avec Soufyan Heutte

Soufyan Heutte est notre poète de l'année ! J'ai animé un arpentage de son ouvrage "Mes poings sur les I" pour les jeunes gens du Parcours Art Ensemble d'i.PEICC, comme première rencontre et approche de ses écrits et démarches : "amoureux des quartiers, pas si populaires que ça, est éducateur spécialisé auprès de jeunes en situation de délinquance. Par ses articles, sa plume s’attelle à tirer le portrait de personnes éclipsées par la nuée des faits-divers. Dans ce premier roman, il livre un regard singulier sur « la banlieue » dépeignant avec beaucoup de poésie la réalité d’une vie de quartier."

La thématique de cette année du Printemps des Poètes est La grâce. Notre "Grâce" au quotidien à i.PEICC ce sont nos échanges avec nos voisins, les habitants du quartier de La Mosson à Montpellier, en particulier sa jeunesse, que Soufyan connait aussi très bien, "car La Grâce n’est pas que divine ou bénie, pas que gracieuse, évanescente ou mièvre, pas que céleste et inexprimable." (source Edition2024 )

De belles rencontres et créations littéraires, poétiques, théâtrales, en perspectives en mars !

Karine, Tiers Lieu Culturel.

 

Philip BERG, artiste sélectionné pour notre PAILLADE CONTEMPORAIN II

Philip BERG, artiste sélectionné pour notre PAILLADE CONTEMPORAIN II

L'an dernier, le Tiers Lieu Culturel d'i.PEICC, à travers son dispositif de Parcours Art Ensemble soutenu par le MO.CO., a bénéficié d'une nouvelle action de résidence d'artistes : Paillade Contemporain, avec les plasticiens Célia Picard et Hannes Schreckensberger (France / Autriche).

Nous sommes en équipe très stimulés et enthousiastes, à nouveau, par l'artiste sélectionné en cette année 2024 : Philipp BERG !

Il s'agit d'un jeune artiste qui travaille au sein du collectif montpellierain Cargo. Nous avions déjà reçu Cargo à i.PEICC en 2020 dans le cadre d'une résidence des Ateliers Médicis.

Les participants du Parcours Art Ensemble sont donc invités à un workshop à l'Ecole Supérieur des Beaux-Arts de Montpellier (MO.CO. ESBA) aux cotés de l'artiste. Ils accueilleront, à leur tour, dans leurs nouveaux espaces, Philip BERG en résidence dans les mois qui suivront, pour aussi des rencontres avec l'ensemble des équipes et participants aux actions d'i.PEICC.

 

"J'estime que l'on ne peut travailler tout seul. Je souhaite que mon travail disparaisse comme un phasme, mais afin d'y arriver j'ai besoin de collaborer. Que ce soit avec une équipe de foot virtuelle, des insectes, des motards ou des tableaux peints par d'auttres artistes, ce sont leurs gestes que je mets en avant." (Philip BERG, 2020)

Nous avons hâte de vous reparler des échanges, découvertes et productions de ces moments partagés !

Karine, Tiers Lieu Culturel.

 

Ci-dessus : La Cienega Sulfure, crayons de couleurs, Philipp Berg.

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Peuple et Culture
Association de Jeunesse et d’Éducation populaire

i.PEICC lutte contre l’exclusion sociale, professionnelle et culturelle à travers le développement d’une citoyenneté active.

Peuple et Culture développe des démarches d’éducation populaire, favorisant l’éducation critique, l’autonomie, l’ouverture culturelle et interculturelle, la transmission des savoirs, le goût de l’expression et de l’action collective, de la créativité et du vivre ensemble.
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